• 39- Pekin (3)

    Nihao cher lecteur!

    Nous sommes en retard sur le blog, car à l'heure où je t'écris nous sommes en France, mais je me dois malgré tout de clore l'épisode chinois.

    Je ne t'ai pas encore parlé des vélos morts qui jonchent les rues de la ville. Ni de la pollution, pas si terrible que ça. En fait, les chinois enfourchent beaucoup de scooters électriques (ce qui ajoute une touche écologique au danger des passages piétons, on ne les entend pas arriver), du coup je pense que c'est moins pollué que ce qu'on peut en lire sur les guides. Quant aux vélos morts, je crois qu'ils sont abandonnés sur place lorsqu'ils rendent leur dernier souffle, c'est un rituel très étrange...

    39- Pekín suite et fin, la grande muraille

    39- Pekín suite et fin, la grande muraille

    39- Pekín suite et fin, la grande muraille

    39- Pekín suite et fin, la grande muraille

    39- Pekín suite et fin, la grande muraille

     

    39- Pekin (3)

    Et un vélo vivant!

    J'ai lu partout aussi que les hommes crachent beaucoup, et jettent leurs os par terre au restaurant. Alors oui, on entend parfois un gros râclement bien dégueu, mais de là à dire que les trottoirs sont jonchés de mollards, il y a un monde. Et on n'a jamais vu de chinois jeter ses os par terre, ce qui a beaucoup déçu Roméo et Cannelle, qui comptaient bien en faire autant (pour une fois, sans se faire engueuler!). 

    En revanche, ce qui est vrai, c'est qu'il y a beaucoup de gaspillage au restaurant. Les plats sont énormes (par exemple, tu commandes une soupe, tu as la marmite). Il parait qu'il ne faut pas manquer, et que cette surabondance est synonyme de richesse. On gaspille donc avec classe, il faut jouer le jeu, on ne demande pas de doggy bag.

    39- Pekin (3)

    Certains restaus ne sont pas chauffés. Pratique pour décortiquer des gambas en doudoune...

    A Pekin, nous goutons au canard laqué, qui n'a rien à voir avec celui qu'on mange en France. C'est un canard entier qu'ils découpent en lamelles, la peau est très croustillante mais pas de salé sucré, ce n'est ni salé ni sucré. A vrai dire c'est un peu fade, pourtant on est allés dans THE place to be du canard laqué, mais bon, je suis peut-être un peu difficile! (et puis, la viande et moi, ce n'est plus une grande histoire d'amour).

    39- Pekin (3)

    39- Pekin (3)

    39- Pekin (3)

    Dans les restaurants, c'est quitte ou double: soit c'est traduit en anglais, soit il y a une photo, soit il n'y a que les écritures chinoises. C'est donc parfois assez aléatoire, on se demande ce qu'on va retrouver dans notre assiette. Mais ouf, a priori, on a échappé aux vers blancs farcis, au concombre de mer ou à la méduse, aux oeufs pourris, pour rester dans du classique (bien qu'on ne sache pas toujours exactement ce qu'on mange!). En tous cas, c'est toujours bon!

    Sur cette note culinaire, je te donne rendez-vous à notre prochaine étape: la grande muraille!

    Zaiiijiaaaaan!


  • Commentaires

    1
    kiki
    Lundi 4 Décembre 2017 à 05:34

    ouille, épisode bien triste, le canard fini laqué, les vers farcis, les méduses au four, les vélos explosés !

    finalement je continue mon café ! bon courage à vous 

     

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